L’acceptation, faute de connaissance pour certain, et de soumission pour d’autres, de l’appellation Chabin, chabine. La langue Créyole truffé d’indication moqueur : konpè lapin ; insultante. La plus profonde qui maudit les entrailles de la mère : KOUKOUNAMANMANW . Ces thermes sont comme plein d’autres acceptés par beaucoup d’entre nous. Plusieurs indicateurs nous montrent que l’appellation CHABIN, CHABINE, est injurieuse. Faute de volonté de recherche, de capacité à relever la tête, après un tel injure, nous ne nous donnons pas la peine d’essayer d‘analyser ce terme. Chabin, selon le dictionnaire LAROUSE désigne une variété de mouton à laine grossières. Mulâtre, mot qui vient de l’espagnol mulato qui désigne un mulet, le Mulet est un animal Hybride stérile issu de l’âne et de la jument. Ce sont donc des désignations animales issu de croisement terminale : ses animaux ne peuvent reproduire de leur espèce.

En désignant une personne de couleur claire, plus exactement un noir de teinte claire, avec les cheveux crépus pour le Chabin et les cheveux lisses pour le mulâtre. Nous observerons que cette désignation s’applique uniquement pour les descendant des esclaves issus de la traite négrière. En effet en France nous entendons cette dénomination pour désigner les Antillais de couleurs clairs, Cette dénomination à traverser les continents en gardant ses attributs. En Afrique celui qui est claire se voie désigner comme une métisse, le métisse peux être d’un mélange de blanc et de noir de noir et d’asiatique, de noir et d’indien. Vice versa bien sûr. Dès lors que les typologies se mélangent il y à grand métissage.
Aimé Césaire a défini son identitaire de négritude. Glissant lui nous parle de créolité, mais le descendant du béké lui, en mal de procession de sujet, encourage certains mots du vocabulaire « créyole » pour pérenniser sa position dominante, par l’affront psychologique de l’injure, la manipulation mentale. Aveuglément l’homme descendant d’esclave issue de la traite negière joue le jeu et admettent qu’un tel est un béké : propriétaire d’esclave, lui est Chabin et en est fière de son appellation salvatrice, car l’Africain qu’il a en lui c’est dissipé de sa couleur noir, comme la nuit, qui lui recouvre la peau.
Cette dénomination de Chabin, Chabine Mulâtre Mulâtresse, sont des désignations intermédiaires d’humanité. Le l’lendemain de l’abolition de l’esclavage la volonté des abolitionnistes était de faire rentre dans la chambre des députés des fils d’esclave. Car une fois affranchi le l’esclave avait le droit de vote. Expliquons-nous comment une Ancienne maitresse d’esclave qui n’a pas de droit de vote pouvait accepter qu’un de ses affranchis ait le droit de vote. C’est depuis cette évolution à été faite ; L’intermédiaire être la chose qu’était l’esclave et l’humain qu’il ne reconnait pas que nous voyons fleurir un consensus de dénomination dans un état de Cabritage « KABRITAJ ».
Cet état de Kabritaj est instauré discrètement, avec toute ses conséquences d’aliénations, et accepté par tous les intellectuelles, sur de toute une partie de l’humanité.

Le 16 août 2005, le Vol 708 de la compagnie Colombienne  West Caribbean Airway, un McDonnell Douglas MD-82, s’écrase dans la montagne de SIERRE de PERIJA au VENUZUELA avec 152 passagers, tous de la MARTINIQUE, et 8 Membres d’équipage de nationalité COLOMBIENNE.

L’avion reliait le PANAMA à la MARTINIQUE.

 

A cette occasion l’Association Pierrotine Mai 1902 Commémore la mémoire des victimes de cet accident.

 

Une messe sera dite par le Père PITCH à l’église Saint-Martin de Garges Les Gonesse, le 16 Aout 2009 à 09h30.

 

-     A l’issu de cette messe il sera déposé une gerbe au cimetière de GARGES LES GONESSES.

-     Ensuite le vin d’honneur sera servi à la Maison de l’Outre-Mer.

 

 

http://www.liste-noire.org/communaute-europenne-liste-noire-communautaire-compagnie-aerienne.html

 

6 mars 1968 : le vol 212 Air France s'écrase contre la Soufrière lors de son approche de l'aéroport de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe). Les pilotes ont tenté une approche à vue de nuit et ont mal estimé la distance de l'aéroport. Les 63 personnes à bord du Boeing 707 nommé "Château de Lavoute Polignac" trouvent la mort dans l'accident

Boeing 707  F-BLCJ

4 décembre 1969 : le vol 212 Air France s'abîme en mer peu après son décollage de Caracas (Venezuela) pour Pointe-à-Pitre. Les 62 occupants du Boeing 707 périssent dans l'accident. Boeing 707  F-BLCJ

24 mars 2001 : Un avion de la compagnie Air caraibes, en provenance de Saint-Martin, s'écrase à l'atterrissage, à l'aéroport de Saint-Barthélemy. L'accident a causé la mort de 20 personnes.

16 août 2005 : vol 708 West Caribbean, un McDonnell Douglas MD-82 de la compagnie colombienne West Caribbean Airways s’écrase dans la zone montagneuse de Sierra de Perija, dans l’ouest du Venezuela, avec 152 passagers à bord dont un enfant, tous de nationalité française et huit membres d’équipage de nationalité colombienne. L’avion reliait le Panama à la Martinique. Il n’y a aucun survivant.

Suplice d'èsclave

SAMEDI 23 MAI 2009

 

ILE DE France

 

<formulas>

 

JOURNEE NATIONALE DU SOUVENIR DES VICTIMES DE L’ESCLAVAGE COLONIAL.

 

 

 

« 23 MAI » : JOURNEE NATIONALE DU SOUVENIR

 

DES VICTIMES DE L’ESCLAVAGE COLONIAL

 

À l’occasion du 150e anniversaire de l’abolition de l’esclavage dans les colonies françaises,

 

40.000 Antillais, Guyanais et Réunionnais, soutenus par leurs amis africains et français, défilent

 

silencieusement de la République à la Nation pour honorer le martyre de leurs aïeux

 

esclaves. C’est une première en France ! Le 30 octobre 1999, les organisateurs de « La

 

Marche » créent le comité Marche du 23 mai 1998 (CM98). Le CM98 va tout mettre en oeuvre

 

pour que le 23 mai devienne la journée nationale commémorant les victimes de l’esclavage

 

colonial. Après dix ans de combat des associations antillaises, mené sous l’impulsion du

 

CM98, le président de la République, Monsieur Sarkozy, accepte que le 23 mai soit une date

 

officielle de commération de l’esclavage, entièrement dédiée aux victimes de ce crime contre

 

l’humanité. La circulaire FILLON du 2 mai 2008 qui officialise cette date stipule que : « La

 

date du 23 mai sera, pour les associations regroupant les Français d’outre-mer de

 

l’Hexagone, celle de la commémoration du passé douloureux de leurs aïeux qui ne doit pas

 

être oublié ». Cette commémoration, célébrée depuis 10 ans par les descendants d’esclaves

 

antillais, guyanais et réunionnais vivant en France hexagonale, est un temps du souvenir et

 

d’hommages religieux et républicains qu’ils rendent à leurs aïeux. Mais, c’est aussi et surtout

 

un temps de réparation pour ces descendants d’esclaves qui portent encore en eux des blessures

 

transmises par leurs ascendants. Ainsi, le 23 mai est l’occasion pour de nombreux

 

Antillais, Guyanais et Réunionnais de surmonter la honte de leur origine et d’affirmer avec

 

fierté leur identité de Français descendants d’esclaves.

 

En mémoire du martyre que subirent les esclaves africains, antillais, guyanais et réunionnais

 

parce qu’ils étaient noirs, le 23 mai est également une journée de lutte contre le racisme et

 

l’esclavage moderne, et une journée en faveur de la paix afin que de nouveaux crimes contre

 

l’humanité ne se produisent plus.

 

• Le 23 mai est un rassemblement de toutes les forces démocratiques de notre

 

République qui combattent les discriminations raciales, l’avilissement de l’homme et sa mise

 

en esclavage.

 

• Le 23 mai est également un temps se souvenant des autres crimes contre l’humanité

 

qui survinrent après l’esclavage : le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi…

 

• Le 23 mai est l’élan de fraternité des descendants d’esclaves antillais, guyanais et réunionnais

 

envers tous ceux dont l’humanité a été bafouée et l’est encore.

 

• Le 23 mai est enfin l’élan de solidarité des Français descendants d’esclaves envers les

 

jeunes français issus de l’immigration discriminés, marginalisés, souvent humiliés, et en mal

 

d’identité.

 

 

 

 

23 MAI 2009 : 11e COMMÉMORATION DES VICTIMES

 

DE L’ESCLAVAGE COLONIAL

 

Deux temps forts : le premier à Sarcelles dans le Val-d'Oise et le second à Saint-Denis en

 

Seine-Saint-Denis

 

SARCELLES

 

__ 10h30 : Hommage à la « Gardienne de vie », symbole de toutes les mères potomitan

 

esclaves, au stade Nelson Mandela à Sarcelles, sous le patronage du député-maire François

 

PUPONNI. Dans le cadre de cette cérémonie républicaine, animée par le conseiller municipal

 

chargé des originaires des DOM, Jean-Pierre PASSECOUTRIN, les associations antillaises,

 

guyanaises et réunionnaises du Val d’Oise rendront un hommage à leurs arrières grands-parents

 

esclaves, conformément à leur tradition.

 

__ 12h00 : Vin d’honneur présidé par le Député maire François PUPPONI en présence des

 

associations des originaires d’outre-mer du Val-d'Oise, des associations sarcelloises et nationales

 

luttant contre le racisme, l’esclavage moderne, des représentants de peuples victimes

 

de crime contre l’humanité et des personnalités du monde politique et intellectuel, d’artistes

 

et de sportifs de renom.

 

__ 10h à 15h : Visite silencieuse du mémorial des esclaves antillais à la Basilique de Saint-

 

Denis. Recueillement devant les noms donnés aux anciens esclaves en 1848.

 

__ 10h : Ouverture du village Lanmèkannfènèg : Vente d’objets promotionnels, restauration

 

antillaise, Atelier de généalogie du CM98 : « Venez trouvez vos aïeux esclaves ! », Stand

 

du CM98 et du CAFAM.

 

__ 16h : Cérémonie commémorative républicaine : dépôt de gerbes sur la place de la

 

Résistance et de la Déportation à Saint-Denis, sous le patronage du maire de Saint-Denis,

 

Didier PAILLARD. Cérémonie animée par Jaklin PAVILLA, maire adjointe déléguée à la

 

mémoire, en présence des associations dionysiennes, des associations d’originaires des

 

départements d’outre-mer de la Seine-Saint-Denis, des associations luttant contre le

 

racisme et l’esclavage moderne, des représentants de peuples victimes de crime contre l’humanité,

 

des personnalités du monde politique et intellectuel, d’artistes et de sportifs de

 

renom.

 

__ 17h : Célébration œcuménique dédiée aux victimes de l’esclavage colonial à la

 

Basilique de Saint-Denis organisée par le CM98, l’Aumônerie Antilles-Guyane, la Fédération

 

des protestants de France et le diocèse de Saint-Denis

 

__ 19h : Cérémonie « Nanmayo » : Hommage des tambours de la Guadeloupe et de la

 

Martinique sur le parvis de la basilique de Saint-Denis

 

__ 20h : Rassemblement de la fraternité Lanmékannfénèg. Des hommes politiques, des

 

artistes, des responsables d’associations contre le racisme, l’esclavage moderne et pour la

 

paix.

Vois-tu, le spirituel touche l’esprit ascensionnel.

 

Le symbolisme est le véhicule ascensionnel.

 

Boire le sang du christ (par le vin), manger le corps du christ (par l’Ostie), sont les symptomatiques de la communion.

 

Mettre en commun nécessite au moins deux objets, et en tripartie pour le spirituel.

 

Le vin et l’Ostie ainsi reçu symbolise la trinité. Comme ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.

 

Nous voilà tous, après la communion, tel que dieu l’a voulu : à son image.

 

C’est par la force du sacrifice de la chaire que le début de notre ère est ainsi marqué par Jésus-Christ.

 

 

 Dominas971

 

Rapport préliminaire de séisme concernant la Guadeloupe

Un faible séisme (magnitude 4.0 sur l’Échelle de Richter) a été enregistré le mercredi 20 mai 2009 à 21:02
(heure locale) et identifié d’origine Tectonique. L’épicentre a été localisé à 28 km au nord−nord−est de
Saint−Barthélemy, à 18 km de profondeur (soit une distance hypocentrale d’environ 33 km). Ce séisme a pu
générer, dans les zones les plus proches de l’épicentre, une accélération maximale du sol de 8.6 mg (*),
correspondant à une intensité macrosismique de IV (largement ressentie). Suivant le type de sols, les
intensités réelles peuvent cependant varier de plus ou moins un degré par rapport aux valeurs prédites.

Caractéristiques :
Jeudi 21 mai 2009 01:02:26 TU
Magnitude 4.0,
Latitude :18.15°N,
Longitude : 62.79°W,
Profondeur 18 km.

Consultez le  fichier joint.

Si vous avez ressenti ce séisme, vous pouvez témoigner sur www.franceseisme.fr (BCSF).

www.franceseisme.fr